à Sophie Wilmès, Première Ministre de Belgique

 » Je ne peux pas vous donner le formule du succès, mais je peux vous donner la formule de l’échec et c’est : essayer de plaire à tout le monde  » ( Herbert Bayard Swope, journaliste américain 1988-1958)

Sophie Wilmès a obtenu fin mars 2020 , pour son gouvernement provisoire, la confiance et des pouvoirs spéciaux pour engager et mener la lutte contre le coronavirus. Pas de tous les partis cependant, on ne peut pas plaire à tout le monde…Cela devrait la rassurer sur ses chances de réussir !

C’est la crise (coronavirus)

Les problèmes des boulangers sont croissants…

Alors que les bouchers veulent défendre leur beefsteak,

Les éleveurs de volailles se font plumer,

Les éleveurs de chiens sont aux abois,

Les pêcheurs haussent le ton !

Et bien sûr, les éleveurs de porcs sont dans la merde,

Tandis que les céréaliers sont sur la paille.

Par ailleurs, alors que les brasseurs sont sous pression,

Les viticulteurs trinquent.

Heureusement les électriciens résistent.

Mais pour les couvreurs, c’est la tuile

Et certains plombiers prennent carrément la fuite.

Dans l’industrie automobile, les salariés débrayent,

Dans l’espoir que la direction fasse marche arrière.

Chez EDF, les syndicats sont sous tension,

Mais la direction ne semble pas au courant.

Les cheminots voudraient garder leur train de vie,

Mais la crise est arrivée sans crier gare,

Alors… les veilleurs de nuits, eux, vivent au jour le jour.

Pendant que les pédicures travaillent d’arrache-pied.

Les croupiers jouent le tout pour le tout,

Les dessinateurs font grise mine,

Les militaires partent en retraite,

Les imprimeurs dépriment

Et les météorologistes sont en dépression.

Les prostituées se retrouvent à la rue.

Amis, c’est vraiment une mauvaise passe.

Mais rarement les banquiers perdent au change.

( Texte trouvé sur internet sans indication de son auteur)

Coronavirus, confinement… c’était en mars 2020

Très beau texte d’un auteur inconnu

C’était en mars 2020 : les rues étaient vides, les magasins fermés, les gens ne pouvaient plus sortir. Mais le printemps ne savait pas, et les fleurs ont commencé à fleurir, le soleil brillait, les oiseaux chantaient, les hirondelles allaient bientôt arriver, le ciel était bleu, le matin arrivait plus tôt

C’était en mars 2020 : les jeunes devaient étudier en ligne, et trouver des occupations à la maison, les gens ne pouvaient plus faire de shopping, ni aller chez le coiffeur. Bientôt il n’y aurait plus de place dans les hôpitaux, et les gens continuaient de tomber malades. Mais le printemps ne savait pas, le temps d’aller au jardin arrivait, l’herbe verdissait

C’était en mars 2020 : les gens ont été mis en confinement. Pour protéger les grands-parents, familles et enfants. Plus de réunion ni repas, de fête en famille. La peur est devenue réelle et les jours se ressemblaient. Mais le printemps ne savait pas, les pommiers, cerisiers et autres ont fleuri, les feuilles ont poussé

Les gens ont commencé à lire, jouer en famille, apprendre une langue, chantaient sur le balcon en invitant les voisins à faire de même, ils ont appris une nouvelle langue, être solidaires et se sont concentrés sur d’autres valeurs. Les gens ont réalisé l’importance de la santé, la souffrance, de ce monde qui s’était arrêté, de l’économie qui a dégringolé

Mais le printemps ne savait pas. Les fleurs ont laissé leur place aux fruits, les oiseaux ont fait leur nid, les hirondelles étaient arrivées

Puis le jour de la libération est arrivé, les gens l’ont appris à la télé. le virus avait perdu, les gens sont descendus dans la rue, chantaient, pleuraient, embrassaient leurs voisins, sans masques ni gants. Et c’est là que l’été est arrivé, parce que le printemps ne savait pas. Il a continué à être là malgré tout, malgré le virus, la peur et la mort. Parce que le printemps ne savait pas, il a appris aux gens le pouvoir de la vie

Tout va bien se passer, restez chez vous, protégez-vous, et vous profiterez de la vie. Lisez ceci, répandez le et restez amoureux

10% de son temps aux contacts et relations

Decitime

Lorsqu’Evelyn Gessler – très connue en Belgique dans le monde des affaires et le monde politique – a lancé sa 1ère agence de relations publiques et de relations avec la presse, dans les années 1970-1980, elle l’a baptisée « Decitime ». Je lui ai un jour demandé pourquoi ce nom et elle m’a répondu : « Un manager doit consacrer 10 % de son temps aux contacts et aux relations » Je crois sincèrement qu’il n’y a pas que les managers qui sont concernés, c’est vrai pour chacun(e) de nous. Aujourd’hui plus que jamais, nous ne pouvons rester cloitrer dans notre petite sphère familiale ou professionnelle, le monde bouge, tout bouge autour de nous. Comme le disait je ne sais plus qui : « Il faut courir très vite pour simplement faire du sur place ! »

Oser les relations, c’est-à-dire se donner la peine d’écouter, contacter, lire, écrire, réagir, accepter des invitations et inviter aussi, visiter des expositions, participer à des conférences, etc… beaucoup de personne estiment que cela ne les concerne pas, qu’elles n’ont pas le temps. Avez-vous déjà remarqué que ce sont souvent les personnes les plus occupées qui trouvent le temps ?

Peu importe notre job, nos responsabilités, nos préoccupations, nos finances, il est nécessaire de nous aérer, de prendre un peu de temps pour les nôtres évidemment, mais aussi pour ceux et celles qui croisent notre route et qui peuvent souvent nous apporter beaucoup. C’est une forme d’investissement non seulement sympathique mais qui peut aussi s’avérer très rentable tant pour nous que pour la société qui nous emploie. Beaucoup de grands accords commerciaux, d’affaires réussies, de belles réalisations, ont souvent comme origine des hommes et des femmes qui ont aimé se rencontrer et  ont voulu aller un peu plus loin en réalisant quelque chose ensemble.

Je me souviens de la pièce de théâtre « Nathan le Sage »  de Gotthold Ephraïm Lessing, et du programme qui reprenait un beau proverbe : «  Qui n’est pas nomade au fond de son cœur reste définitivement cloué à des horizons mesquins ». C’est bien vrai !

Nomade pour nous et pour notre société ? Osons l’être !